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OM : « Des petits soldats », De Zerbi taille la méthode Luis Enrique

Pendant le stage effectué cette semaine, Roberto De Zerbi n’a pas mis en place un système particulier. L’entraîneur de l’Olympique de Marseille, contrairement à son homologue du Paris Saint-Germain Luis Enrique, préfère accorder de la liberté à ses joueurs sur le terrain.

L’Olympique de Marseille a changé ses habitudes cette semaine. A la demande de l’entraîneur Roberto De Zerbi, les Marseillais sont partis en stage pendant quatre jours. Le groupe a pu renforcer sa cohésion et mieux préparer le choc face à l’AS Monaco prévu dimanche au Vélodrome. Loin des regards curieux, le coach italien avait le champ libre pour mettre en place des nouveautés dans le jeu. La question lui a donc été posée ce samedi en conférence de presse. Mais l’ancien coach de Sassuolo n’a évidemment rien révélé.

De Zerbi veut des joueurs libres

Roberto De Zerbi s’est contenté de souligner la liberté offerte à ses joueurs sur le terrain. Une philosophie totalement opposée à celle de son homologue du Paris Saint-Germain Luis Enrique, très souvent critiqué pour sa rigidité. « De nouvelles idées de jeu ? Les joueurs, je veux toujours qu'ils se sentent libres sur le terrain, toujours, a insisté l’Italien devant les médias. Moi, je n'ai pas envie d'entraîner des petits soldats et de contrôler les joueurs comme avec une manette de jeu vidéo. Je veux qu'ils aient de la liberté. »

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— Olympique de Marseille (@OM_Officiel) November 30, 2024

« C'est le premier principe de vie, la liberté. Donc moi, je la laisse aussi aux autres, a expliqué l’entraîneur marseillais avant de nuancer ses propos. Mais clairement, vu que c'est un jeu d'équipe à 11, il faut qu'il y ait des règles et des lignes directrices que tout le monde doit suivre. Sinon, ça devient une anarchie et chacun fait ce qu'il veut sur le terrain. Et ce n'est pas un sport où on peut faire ce qu'on veut sur le terrain. » En résumé, Roberto De Zerbi apprécie les initiatives personnelles, tant qu’elles n’affectent pas le collectif.

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