Thomas Bourseau
C’est la crise au PSG ? A l’intérieur du groupe de Luis Enrique, une division se serait créée entre les joueurs en raison des méthodes de l’entraîneur espagnol. Toutefois, Damien Perquis a effectué une observation intrigante sur les ondes de RMC concernant les soi-disant mécontents évoqués dans la presse.
Le PSG a bouclé une semaine sans victoire avec une défaite à Munich (0-1) et un nul concédé au Parc des princes contre le FC Nantes (1-1). Depuis, divers articles sortent dans la presse au sujet de la montée de l’agacement du vestiaire concernant le management de l’entraîneur du Paris Saint-Germain de la part de L’Équipe ou de Foot Mercato. Des joueurs qui pèsent assez lourd dans le vestiaire de l’équipe du coach espagnol en auraient assez.
Mercato : L’annonce surprise qui calme le PSG ! https://t.co/wG6wnCQ9VS pic.twitter.com/IxM1V5yGAN
— le10sport (@le10sport) December 3, 2024
«C’est souvent ceux qui sont en difficulté ou qui ne jouent pas dont on entend parler»
Il semble que ce soit le cas de Presnel Kimpembe, de Gianluigi Donnarumma, d’Ousmane Dembélé et même de Bradley Barcola qui serait de plus en plus en décalage avec les demandes ainsi qu’exigences sportives de Luis Enrique d’après Foot Mercato. Une situation de crise qui interpelle forcément Damien Perquis, pour des raisons qu’il juge étranges au niveau de l’identité des mécontents.
« Est-ce qu’on a entendu les joueurs qui font une grosse saison ou une bonne saison comme Hakimi parler sur le coach, ou Marquinhos ou Pacho dire : je n’aime pas Luis Enrique. C’est là que j’ai envie de mettre un bémol sur les propos. C’est souvent ceux qui sont en difficulté ou qui ne jouent pas dont on entend parler ».
«Il y a une cassure, mais pas dans l’intime»
Et pour ce qui est de la cassure évoquée par divers médias au sein même du vestiaire du PSG envers l’entraîneur, l’ancien joueur du FC Sochaux a tempéré ces informations sur les ondes de RMC pour Génération After. « Il y a une cassure, mais pas dans l’intime. Les entourages peuvent divulguer ce qu’ils veulent, parce que ça va très vite aujourd’hui, on pose une info quelque part et ça va x1000 dans l’heure ».