Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.
Si en Ligue des Champions, le PSG connaît certaines difficultés, en championnat, la formation de Luis Enrique a pour le moment été sensationnelle. Encore invaincus en Ligue 1, les Parisiens vont chercher à poursuivre sur cette voie, même si à en croire Tony Vairelles, terminer champion d’automne peut accroître la pression autour d’un effectif et d’un coach.
40. Comme le nombre de points acquis par le PSGcette saison en championnat. Un total très satisfaisant pour les Parisiens, qui ont clairement mieux lancé leur campagne nationale par rapport à la saison précédente. Avec dix points d’avance sur l’OM et sur l’AS Monaco, Paris rayonne en Ligue 1. Une fois de plus, le PSG a reçu le titre honorifique de champion d’automne, ce qui n’est pas forcément une superbe nouvelle pour la formation de Luis Enrique selon Tony Vairelles.
Nuno Mendes retrouve la forme et le PSG ne compte pas le laisser filer ! 🔥
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— le10sport (@le10sport) December 20, 2024
« Quand tu es champion d’automne ça te met une pression supplémentaire »
Ce dernier estime notamment que la saison de Ligue 1 n’est clairement pas terminée, et que le PSG peut encore être rattrapé : « Non je ne pense pas (que la saison est pliée). Sincèrement je ne pense pas parce que, justement, les équipes ça les motive. A contrario, quand tu es champion d’automne, à mon avis ça te met une pression supplémentaire », a lâché l’ancien buteur du RC Lens auprès de RMC Sport.
« Parce qu’après tout le monde se disait que c’est l’équipe à battre »
« Ok, le PSG parce que c’est une grosse armada le sent peut-être un peu moins. Mais quand tu es champion d’automne les autres années, quand le championnat est un peu plus disputé, je pense que le fait d’être champion d’automne ce n’était pas toujours un bien. Parce qu’après tout le monde se disait que c’est l’équipe à battre. C’est comme quand tu es champion, l’année d’après », poursuit Tony Vairelles. Reste désormais à savoir si à l’instar de la saison précédente, Luis Enrique parviendra à résister au retour de ses poursuivants...