Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.
A la lutte avec Gianluigi Donnarumma au PSG, Matvey Safonov doit aussi apprendre à composer avec son ex-femme, dont le conflit anime l'actualité en Russie. Celle-ci réclame une pension alimentaire impayée après leur divorce. Une nouvelle étape vient d'être franchie puisque Anastasia Kazachek aurait demandé un examen psychologique du gardien parisien.
Matvey Safonov fait régulièrement parler de lui dans son pays natal en Russie, en raison de sa situation au PSG, mais aussi de la guerre qu’il se livre avec son ex-femme. Un conflit qui s’est prolongé sur un autre terrain, judiciaire. Anastasia Kazachek réclamerait une pension alimentaire d'un montant de 60 millions de roubles, soit près de 627 000 euros. Ce feuilleton a débuté il y a plusieurs mois et un nouveau rebondissement a eu lieu. La jeune femme aurait demandé un examen psychologique du gardien parisien aux juges
Un talent discret qui fait du bruit ! Achraf Hakimi, le nouveau Zidane, allie puissance et humilité au PSG. ⚽️
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— le10sport (@le10sport) December 22, 2024
Safonov envoyé chez un psy
« Baza (média russe) a écrit que j'avais demandé une expertise psychologique pour Safonov à cause des deux buts marqués, mais c'est un mensonge. Il n'y a aucune relation de cause à effet entre les buts marqués et ma demande d'examen psychologique de Safonov. La raison de ma demande d'examen psychologique pour Safonov était le fait qu'il invente des déclarations pour avoir la moindre raison d'aller au tribunal » a déclaré Kazachek.
« Il a besoin d'une aide psychologique »
Selon elle, les propos et le comportement de Safonov sont incohérents et méritent d’être examinés. « En fin de compte, Safonov a perdu ses sept procès en 2024, mais trois autres de ses demandes sont toujours pendantes devant le tribunal de Nikulinsky. Dix procès potentiels en 2024 sont la raison pour laquelle j'ai supposé que Safonov souffrait du syndrome de la chicanerie. Et le fait que ses paroles soient en contradiction avec ses actes et ses problèmes d'estime de soi m'ont amené à penser qu'il avait besoin d'une aide psychologique » a-t-elle lâché à Sports.ru. Reste à savoir si ce conflit brouillera ses pensées durant la rencontre face à Lens ce dimanche.