Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.
Présent dans le groupe du PSG pour défier Lens ce dimanche, Matvey Safonov pourrait bientôt retrouver les tribunaux. Depuis plusieurs mois, le gardien parisien se dispute la garde de sa fille avec son ex-femme, qui a sollicité un examen psychologue. Une manière de se payer le portier russe et de mettre la pression sur les juges.
En cette période de Noël, Matvey Safonov ne soit pas s’attendre à un cadeau de son ex-femme. Le portier du PSG est en conflit avec Anastasia Kazachek, dont il a divorcé en 2021. La jeune femme réclame une pension alimentaire de plus de 600 000€ après que le juge lui ait donné la garde de leur fille. Mais Safonov ne s’avoue pas vaincu, ce qui a tendance à irriter Kazachek. Selon la presse russe, elle aurait demandé une aide psychologique pour son ex-mari, aujourd’hui à Paris.
Un talent discret qui fait du bruit ! Achraf Hakimi, le nouveau Zidane, allie puissance et humilité au PSG. ⚽️
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— le10sport (@le10sport) December 22, 2024
Une demande d'examen psychologique envoyée
« Baza (média russe) a écrit que j'avais demandé une expertise psychologique pour Safonov à cause des deux buts marqués, mais c'est un mensonge. Il n'y a aucune relation de cause à effet entre les buts marqués et ma demande d'examen psychologique de Safonov. La raison de ma demande d'examen psychologique pour Safonov était le fait qu'il invente des déclarations pour avoir la moindre raison d'aller au tribunal » a déclaré Kazachek.
« Ses paroles sont en contradiction avec ses actes »
Selon l’avis de Kazachek, Safonov doit s’avouer vaincu dans cette affaire, qui a bien failli faire capoter son transfert au PSG cet été. « En fin de compte, Safonov a perdu ses sept procès en 2024, mais trois autres de ses demandes sont toujours pendantes devant le tribunal de Nikulinsky. Dix procès potentiels en 2024 sont la raison pour laquelle j'ai supposé que Safonov souffrait du syndrome de la chicanerie. Et le fait que ses paroles soient en contradiction avec ses actes et ses problèmes d'estime de soi m'ont amené à penser qu'il avait besoin d'une aide psychologique » a-t-elle lâché à Sports.ru