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Le PSG champion d’Europe : Un «problème» dénoncé par l'OM

Bernard Colas -

Journaliste

Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Le Paris Saint-Germain a triomphé pour la première fois de son histoire en Ligue des champions, écrasant l'Inter Milan (5-0) en finale, le 31 mai dernier. Roberto De Zerbi, entraîneur de l'Olympique de Marseille, se montre critique du regard porté par les Italiens sur le PSG, soulignant le manque de préparation vis-à-vis de l’équipe dirigée par Luis Enrique.

Le 31 mai dernier, le PSG décrochait le Graal en remportant la première Ligue des champions de son histoire, et avec la manière puisque les hommes de Luis Enrique ont écrasé l’Inter Milan (5-0) grâce à des réalisations de Désiré Doué (par deux fois), Achraf Hakimi, Khvicha Kvaratskhelia et Senny Mayulu. Invité du podcast d’Alessandro Cattelan, Roberto De Zerbi estime que les Italiens n’avaient pas suffisamment étudié le PSG, qui avait donné du fil à retordre à l'OM cette saison (3-0 au Vélodrome et 3-1 au Parc des Princes).

« Le problème réside dans le fait que l'Italie ne connaissait pas le PSG »

« Un résultat étrange parce que l'Inter est une grande équipe et Inzaghi un grand entraîneur. Une différence de 5 buts ne reflète pas la réalité, estime l’entraîneur de l’OM. Le problème réside dans le fait que l'Italie ne connaissait pas le PSG, qu'elle l'a sous-estimé et s'est montrée présomptueuse à son égard. Je parle de l’Italie footballistique, pas de l’Inter, attention. »

« Le réveil a été difficile »

« Ils ignoraient même que le coup d'envoi se faisait en touche, poursuit De Zerbi. Ils ne savaient pas que Dembélé fait toujours ainsi. Malheureusement, je le savais. Ils ne savaient pas que Doué est un talent du niveau de Yamal : il a une classe folle. Ils ne savaient pas que Vitinha est peut-être le milieu de terrain le plus fort du monde aujourd'hui. Ils ne savaient pas non plus de quel pays venait Pacho, malheureusement. Et donc, le réveil a été difficile. »

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