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Trois phénomènes annoncés au PSG

Benjamin Labrousse -

Rédacteur

Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Victorieux face à l’Atlético de Madrid ce dimanche soir (4-0) à l’occasion de la Coupe du monde des Clubs, le PSG a impressionné Pablo Correa. Le mythique entraîneur de l’AS Nancy est revenu plus en détail sur son admiration de la formation de Luis Enrique, affirmant que son milieu de terrain était phénoménal.

Le PSG en maîtrise. Deux semaines après son sacre historique en Ligue des Champions, le club de la capitale était de retour à la compétition ce dimanche soir avec la Coupe du monde des Clubs. Les hommes de Luis Enrique ont démoli l’Atlético de Madrid (4-0) au Rose Bowl de Pasadena en Californie. Dans une chaleur folle, les Parisiens ont totalement dominé les Colchoneros, impuissants face aux milieux du PSG, qui ont délivré une véritable partition dans l’entrejeu.

« Les trois ensemble. Ils sont très surprenants »

Avec Vitinha, Joao Neves, et Fabian Ruiz, le PSGet Luis Enrique disposent d’un trio impressionnant dans l’entrejeu, et qui permet au club parisien de contrôler la quasi-totalité de ses rencontres. Auprès du Parisien, l’entraîneur de l’AS Nancy Pablo Correa s’est livré sur les trois cracks parisiens. « Le centre névralgique de l’équipe, c’est le milieu de terrain. Sortir un seul joueur, c’est difficile. J’ai envie de dire Joao Neves pour son travail de l’ombre. Mais Vitinha a marqué, Fabian Ruiz aussi. Je dirais donc les trois ensemble. Ils sont très surprenants », a ainsi affirmé l’Uruguayen.

« Vous n’avez jamais le ballon quand ils sont dans cette forme-là »

Pour ce dernier, impossible de prendre le ballon au PSG avec Vitinha, Fabian Ruiz, et Joao Neves : « Ils sont capables d’anesthésier l’adversaire et de jouer vers l’avant ou l’arrière de manière dévastatrice. Vous n’avez jamais le ballon quand ils sont dans cette forme-là, même si les Madrilènes ont trouvé un peu de souffle avec l’entrée de Koke en deuxième période. Le match aurait peut-être pu s’équilibrer si le but d’Alvarez (58e) n’avait pas été refusé (faute sur Doué au départ de l’action). »

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