Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.
Ce dimanche soir, le PSG a totalement maîtrisé les débats face à l’Atlético de Madrid pour son premier match de la Coupe du monde des Clubs (4-0). Le club parisien a dominé son adversaire, dans une prestation qui a impressionné l’entraîneur de Nancy Pablo Correa. Ce dernier estime néanmoins que désormais, la formation de Luis Enrique est une cible à abattre.
Le PSGsans trembler. Engagé dans la Coupe du monde des Clubs aux États-Unis, le club parisien se trouve dans un groupe avec l’Atlético de Madrid, Botafogo, et les Sounders de Seattle. Ce dimanche soir, Paris entamait sa campagne face aux Colchoneros, dans ce qui devait logiquement correspondre à la rencontre la plus compliquée du groupe. Pourtant, les hommes de Luis Enrique ont totalement survolé les débats, infligeant une lourde défaite à la formation de Diego Simeone.
« Je ne m’attendais pas à un PSG niveau Ligue des champions »
Clairement, cette prestation a une fois de plus impressionné les observateurs, dont Pablo Correa, l’entraîneur de l’AS Nancy. « Je ne m’attendais pas à un PSG niveau Ligue des champions, surtout en première mi-temps. Il y avait beaucoup d’interrogations sur l’intérêt des joueurs pour ce tournoi programmé en toute fin de saison. Et en fait, malgré cinq, six premières minutes un peu compliquées, sans doute à cause de la chaleur, on a vu le PSG presser avec une très grande intensité et avec ces permutations permanentes des trois milieux de terrain », a ainsi lâché l’entraîneur du club lorrain auprès du Parisien.
« Le PSG est à un tel niveau d’exigence qu’il met l’adversaire dans le néant »
« À la mi-temps, 2-0, c’est l’écart réel qui sépare les deux formations. C’est un vrai 2-0. Le PSG est à un tel niveau d’exigence qu’il met l’adversaire dans le néant. C’est définitivement l’équipe à battre dans ce tournoi », poursuit Pablo Correa. Désormais, le PSG est la cible à abattre dans cette compétition excitante...