Auteur d'une saison réussie avec Newcastle, Alexander Isak a tapé dans l'oeil de Liverpool. Les Reds sont même prêts à dépasser le montant du transfert record de Neymar au Paris Saint-Germain en 2017 en proposant une offre astronomique.
Auteur de 27 buts et 6 passes décisives en 42 matchs toutes compétitions confondues, Alexander Isak a de nouveau sorti une copie excellente sous les couleurs de Newcastle. Les Magpies peuvent d'ailleurs se réjouir d'avoir dans leur effectif un attaquant de pointe de sa qualité pour les échéances à venir. Le Suédois possède le profil de l'attaquant moderne par excellence, capable de finir les occasions tout autant que de faire briller ses partenaires.
Forcément, un tel joueur intéresse les meilleurs clubs européens. Parmi eux, Liverpool, qui est prêt à frapper un deuxième énorme coup après le transfert de Florian Wirtz, recrue la plus chère de l'histoire de la Premier League. Les Reds sont même prêts à aller au-delà du record mondial encore détenu par Neymar lors de son départ du FC Barcelone au Paris Saint-Germain.
Liverpool pète un cable pour Alexander Isak
Florian Wirtz à Liverpool pour 150 ME https://t.co/hPKP5QVM1v
— Foot01.com (@Foot01_com) June 10, 2025
Le champion de Premier League en titre a bien l'intention de marquer les esprits cet été. Selon les informations de Ben Jacobs pour le podcast Market Madness, Liverpool n'a pas encore renoncé au recrutement d'Alexander Isak. L'opération est rendue difficile à conclure à cause des exigences de Newcastle. Les Magpies demandent en effet au moins 175 millions d'euros hors bonus pour le laisser partir, une manière de dire qu'il est intransférable. Sauf que l'intérêt des Reds ne s'arrête pas là.
Le journaliste britannique affirme que Liverpool est conscient de la difficulté de l'opération et qu'une offre de 235 millions d'euros bonus compris pourrait convaincre Newcastle, auquel cas le record mondial pour un transfert, encore détenu par le PSG et Neymar en 2017, serait largement dépassé. Pour financier un tel recrutement, les Reds peuvent compter sur leurs faibles investissements lors des trois derniers mercatos, mais aussi des revenus de la Premier League, de la Ligue des champions et des nouveaux accords commerciaux.