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Le PSG dit stop, le coup de pression à la FIFA

Thomas Bourseau

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Rédacteur

Féru de sport, Thomas a grandi entre le ballon rond du football et le orange du basket, ses deux coups de cœur depuis toujours. Diplômé d’un Master et d’une Licence à l’Institut Européen du Journalisme de Paris, il suit toujours de très près les aventures d’Arsenal et des Los Angeles Lakers.

Le PSG continue sa route vers l’éventuelle quête de la Coupe du monde des clubs. Avant de retrouver Lionel Messi, star de l’Inter Miami, les Parisiens ont dû faire un arrêt à Seattle sur une pelouse peu praticable. Ce qui a eu le don d’agacer Luis Enrique qui n’a pas mâché ses mots en conférence de presse en interpellant la FIFA.

Loin de la chaleur californienne, le PSG a validé son billet pour le 1/8ème de finale de Coupe du monde des clubs face aux Seattle Sounders lundi soir au Lumen Stadium de la franchise de Major League Soccer (2-0). De quoi boucler la phase de poules de ce Mondial des clubs pour le champion d’Europe qui n’a pas pu dérouler comme en fin de saison. Et selon Luis Enrique, l’état des pelouses outre-Atlantique est en partie la raison.

«La FIFA doit vraiment en tenir compte»

C’est le discours cash prononcé par l’entraîneur du PSG en conférence de presse d’après-match lundi soir à Seattle. « Le ballon rebondissait comme un lapin aujourd’hui. C’est un exemple flagrant : avant, c’était du gazon synthétique maintenant c’est du gazon naturel, mais ils doivent l’arroser à la main. Ils l’ont fait à la mi-temps, mais dix minutes plus, le terrain était un nouveau sec. Pour notre jeu, c’est un problème. Ce n’est pas une excuse, je le dis après une victoire, mais ça reste un vrai souci. On ne joue pas au niveau qu’on souhaite. Je pense que la FIFA doit vraiment en tenir compte ».

«On n’imaginerait pas un parquet de NBA plein de trous»

« Il ne s’agit pas seulement de la pelouse des matchs, mais aussi de celles des entraînements si on veut faire de cette compétition la plus prestigieuse du monde. On n’imaginerait pas un parquet de NBA plein de trous ». a pesté Luis Enrique, comparant cette compétition a une institution sportive américaine. Les termes sont posés.

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