Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités
Surfant sur la lancée d'une saison exceptionnelle, le PSG s'est hissé en demi-finale de la Coupe du monde des clubs, non sans difficulté, en venant à bout du Bayern Munich (2-0). Réduits à 9, les Parisiens ont tout de même réussi à inscrire un second but. Une philosophie dont Luis Enrique est un adepte.
Au terme d'un match très intense, le PSG est venu à bout du Bayern Munich (2-0) afin de se hisser en demi-finale de la Coupe du monde des clubs. Mais ce fut très difficile. Et pour cause, après l'ouverture du score de Désiré Doué, Willian Pacho puis Lucas Hernandez ont été expulsés. Et pourtant, les Parisiens ont trouvé les ressources pour inscrire un second but, grâce à Ousmane Dembélé, afin d'assurer leur victoire. Luis Enrique ne peut donc que se satisfaire de l'état d'esprit de son équipe.
Luis Enrique valide la résilience de ses joueurs
« Pendant la saison, on a parlé pas mal de fois de résilience. On est une équipe qui a de la résilience, nos supporters aussi. Elle aide l'équipe à tout moment. On est une équipe prête pour la compétition », lâche l'entraîneur du PSG en conférence de presse avant de poursuivre en se réjouissant de la performance de ses joueurs, même à neuf contre onze.
«On a montré que malgré deux expulsions, on était compétitifs»
« On est des professionnels, on sait que ces décisions font partie du foot. On a montré qu'on n'avait pas de mauvaises intentions. On n'est pas une équipe violente et qui collecte les cartons, au contraire. Certaines décisions étaient assez étranges, on n'a pas tout compris. Quand on joue un adversaire comme le Bayern, c'est déjà difficile à 11 contre 11. Je préfère avoir la possession dans le camp adverse. Mais contre une équipe comme le Bayern c'est difficile. Je pense que c'est l'adversaire qui nous ressemblait le plus. Après la 1e expulsion, les choses se sont compliquées, et avec deux joueurs de moins c'était un peu la loterie. On a montré que malgré deux expulsions, on était compétitifs », ajoute Luis Enrique.