Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.
Présent à la finale de la Ligue des champions le 31 mai dernier, Robert Pirès a assisté au triomphe du PSG face à l’Inter (4-0). Champion du monde 1998, l’ancien international a salué le travail de Luis Enrique. Mais fidèle à l’OM, où il a évolué deux saisons (1998-2000), Pirès a refusé de dire s’il soutenait vraiment Paris.
Dans un entretien accordé au média Le Carré, Robert Pirès est revenu sur l’événement marquant de cette fin de saison : la victoire écrasante du PSG en finale de la Ligue des champions face à l’Inter (4-0). Présent à Munich le 31 mai dernier, le champion du monde 1998 a assisté à la démonstration parisienne, portée notamment par Ousmane Dembélé. Amateur de beau jeu, Pirès a salué le travail de Luis Enrique.
Pirès salue le « coup de génie » du PSG
« Je me suis régalé, parce que c’était une finale de Ligue des champions et parce que j’ai vu l’équipe de Luis Enrique proposer un très beau football, en faisant vivre un cauchemar aux Italiens. C’était impressionnant, surtout quand on aime le beau jeu. (…) Depuis janvier, j’ai vraiment apprécié le jeu du PSG. Quelque chose s’est passé après le match contre City, il y a eu comme un coup de génie », a confié l’ancien international français.
Pirès n'imite pas Zidane
Mais lorsqu’on lui demande s’il a soutenu le PSG ce soir-là, Pirès reste évasif. « Supporter ? J’ai joué deux ans à l’OM, tu veux que je me fasse flinguer par les supporters ? (rires) À la rigueur, je préfère me faire allumer par ceux du PSG », a-t-il lancé avec humour. Contrairement à Zinédine Zidane, qui avait clairement pris parti pour Paris, Pirès assume sa fidélité au club phocéen. « Zidane ? Tant mieux pour eux, aucun souci. Mais moi, je ne peux pas être pour le PSG. C’est une question de loyauté. Mon côté marseillais est toujours là », a-t-il conclu, tout en rappelant qu’il vit désormais dans la capitale française.