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Luis Enrique claque la porte : L’annonce choc

Guillaume de Saint Sauveur -

Journaliste

Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Bien avant d'être nommé entraîneur du PSG, Luis Enrique avait connu diverses expériences dont une sur le banc de l'AS Rome lors de la saison 2011-2012. Mais le coach espagnol avait finalement coupé court avec cette expérience dans la capitale italienne en claquant la porte en bout d'un an seulement, et Walter Sabatini revient sur ce départ soudain de Luis Enrique.

S'il semble aujourd'hui parfaitement épanoui à la tête du PSG où il est en train de faire des merveilles seulement deux ans après sa nomination, Luis Enrique n'a pas forcément trouvé un tel bonheur lors de ces précédentes expériences d'entraîneur. À l'été 2012, et seulement un an après son arrivée au club, il avait notamment décidé de claquer la porte de l'AS Rome où il n'était pas à son aise comme l'a confié Walter Sabatini, son directeur sportif de l'époque, dans un entretien accordé à la Gazzetta dello Sport.

« On l’a supplié de rester, il n'a rien voulu entendre »

« Pourquoi ça n’a pas marché à Roma ? C'est simple, le club ne l'a pas traité avec dignité ; certains se sont même moqués de lui. Et il a été déçu de tout cela. On l’a supplié de rester, mais il n'a rien voulu entendre. Le PSG a abandonné sa stratégie de recrutement, se concentrant uniquement sur les jeunes joueurs. Or, s'il avait trouvé à Rome la même confiance qu'à Paris, tout aurait été bien différent », indique Sabatini au sujet de l'entraîneur du PSG.

« Nous avons commis quelques erreurs avec lui »

« Il nous fallait un objectif commun, et peut-être avons-nous aussi commis quelques erreurs avec lui. Luis était l'idole des joueurs, à deux ou trois exceptions près. De Rossi, par exemple, était fasciné. Il venait souvent me dire dans mon bureau que c'était comme s'il jouait au football pour la première fois, car Lucho posait aux joueurs des questions qu'ils n'avaient jamais entendues », poursuit l'ancien dirigeant de l'AS Rome.

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