Alexis Poch -
Journaliste
Titulaire d'un Master en journalisme sportif, je suis tombé amoureux du tennis dès l'enfance et j'ai toujours aimé lire les belles histoires de ce sport. Aujourd'hui, je souhaite les raconter, profiter de ma passion à fond et être au plus proche des as du circuit.
Dimanche, le PSG disputait le dernier match de sa saison 2024-2025, la finale de la Coupe du monde des clubs au MetLife Stadium, tout près de New York. Les hommes de Luis Enrique n'ont pas pu rivaliser cette fois-ci avec Chelsea qui s'est largement imposé (3-0). Les Blues ont adopté un style de jeu qui a beaucoup gêné le club de la capitale en donnant le tout pour le tout.
En réussissant un parcours plus qu'exemplaire pour se qualifier en finale de la Coupe du monde des clubs, le PSGpartait favori pour battre Chelsea et repartir avec un nouveau trophée. Mais les hommes de Luis Enrique ont vite été dépassés, la faute à une équipe anglaise prête à prendre les devants. Pour Jérôme Alonzo, cela ne remet pas en cause le statut glané par les champions d'Europe.
Le PSG détrôné ?
Vainqueur de la Ligue des champions pour la première fois de son histoire le 31 mai dernier, le PSG faisait de la Coupe du monde des clubs un réel objectif pour étendre sa domination à l'internationale. Les efforts étaient de plus en plus difficiles à fournir. « Il y a toujours des jours où tu passes à côté et l'écart réel entre Chelsea et le PSG n'est pas de trois buts. Je pense toujours que le PSG est une meilleure équipe. Mais, cette fois, ça s'est joué notamment sur le plan athlétique et mental » déclare Jérôme Alonzo pour La Chaîne L'Equipe.
Chelsea a tout fait pour déstabiliser le PSG
Ces derniers temps, le PSG avait pris l'habitude de dominer totalement ses adversaires, comme c'était le cas en demi-finales de ce Mondial des clubs contre le Real Madrid. Mais Chelsea a vite trouvé la clé dimanche pour faire déchanter les hommes de Luis Enrique. « On aurait dit que le PSG jouait le cinquième match de sa saison quand Paris, tout de suite, a vite plongé. Les Blues, eux, sont rentrés dans le match comme des morts de faim. Ils ont dû se dire : quitte à prendre une valise comme tout le monde, on va les agresser et puis on verra bien » poursuit l'ancien gardien du PSG.