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Transfert «fantastique» au PSG : Un rêve se réalise sur le mercato

Bernard Colas -

Journaliste

Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Le 1er septembre 2019, Sergio Rico quittait le FC Séville pour s’engager en faveur du Paris SG dans le cadre d’un prêt, devenant ainsi la doublure de Keylor Navas. Un souvenir marquant pour le gardien espagnol, évoluant aujourd’hui à Al Gharafa au Qatar, qui fêtait ce jour-là son 26e anniversaire.

Victime d'un traumatisme crânien grave à la suite d'une chute de cheval, Sergio Rico a vu sa vie basculer un jour de mai 2023, alors qu'il évoluait au PSG. Deux ans et demi plus tard, le portier espagnol a donné de ses nouvelles dans un entretien accordé au Parisien, lui qui a pu reprendre sa carrière professionnelle, du côté d’Al Gharafa au Qatar. « Je suis au top de ma forme. Depuis que j’ai reçu le feu vert des médecins, je ne sens aucune différence par rapport à celui que j’étais avant l’accident. J’ai retrouvé toutes mes facultés, tant sur le plan sportif que dans la vie quotidienne. Grâce à Dieu, tout cela n’est plus qu’une anecdote, une histoire à raconter et qui, finalement, se termine bien », confie celui qui avait signé dans la capitale le 1er septembre 2019.

« C’était fantastique »

Une date tout sauf anodine pour Sergio Rico, fêtant ce jour-là son 26e anniversaire. « C’est le plus bel anniversaire que j’ai jamais eu : pouvoir signer au PSG le jour même de son anniversaire, vous imaginez… C’était fantastique », s’enflamme encore aujourd’hui l’Espagnol

« Ils étaient tous à la maison pour faire la fête, moi, j’étais à Paris pour signer mon contrat »

« Le plus cocasse dans cette histoire, c’est que j’avais organisé une fête d’anniversaire chez moi, à Séville, avec des amis qui venaient d’un peu partout, de Barcelone, de Madrid, d’Ibiza… Sauf que, pendant qu’ils étaient tous à la maison pour faire la fête, moi, j’étais à Paris pour signer mon contrat (rires). Mais c’était pour la bonne cause », poursuit Sergio Rico, auprès du Parisien.

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