Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités
Depuis la victoire de l'équipe de France contre l'Azerbaïdjan (3-0), les propos de Johan Micoud sur Kylian Mbappé font largement parler. Pierre Ménès ne manque pas d'ailleurs d'en rajouter une couche, s'agaçant de l'acharnement dont est victime le capitaine des Bleus.
Après la victoire de l'équipe de France contre l'Azerbaïdjan, Johan Micoud n'avait pas manqué de critiquer Kylian Mbappé, pourtant buteur. « En fait, il a éteint les autres. Si c’est ça ton leader, et s’il a fait un bon match, cela va être problématique pour l’avenir. Si tu éteins tous les mecs, qu’ils ne savent plus où jouer parce qu’il fait ce qu’il veut. On a eu ce débat au PSG, au Real Madrid, en Équipe de France… », confiait le champion d'Europe 2000 sur le plateau de L'EQUIPE du Soir. Une critique que Pierre Ménès voit comme de l'acharnement à l'encontre de Kylian Mbappé.
Pierre Ménès fracasse Johan Micoud
« J'ai connu Micoud joueur, c'était déjà un mec triste et plutôt négatif. En devenant un ancien joueur, il faut croire qu'il est devenu encore plus triste et plus négatif. Son acharnement contre Mbappé est déplacé, et contre l'Azerbaïdjan, surtout quand on voit le match, on dépasse les limites du ridicule. Et surtout lorsqu'on voit le match suivant sans Mbappé », lance-t-il dans une vidéo diffusée sur sa chaîne YouTube, avant d'en rajouter une couche.
«J'ai connu Micoud joueur, c'était déjà un mec triste et plutôt négatif»
« "Vampiriser", mais vampiriser qui et vampiriser quoi ? Est-ce que c'est la faut de Mbappé si les autres joueurs de l'équipe de France ne sont pas à son niveau ? Mais bon, c'est une campagne de dénigrement perpétuel et permanente. Et pour tout dire, extrêmement usante. Je sais que je suis considéré comme l'avocat numéro 1 de Mbappé, mais je ne mettrai pas autant d'énergie à le défendre s'il n'était pas régulièrement attaqué de façon aussi lamentable », ajoute Pierre Ménès.