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«Un truc de fou» : La masterclass du PSG sur le mercato à 40M€

Bernard Colas -

Journaliste

Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Lors de la flamboyante victoire du Paris SG contre le Bayer Leverkusen (7-2), Vitinha s’est encore illustré avec un but et une passe décisive. Recruté pour 40 millions d'euros à l'été 2023, le milieu portugais a séduit par sa capacité à diriger le jeu, de quoi susciter l’admiration des observateurs.

Recruté à l’été 2023 pour 40M€, Vitinha ne cesse d’impressionner sous le maillot du PSG. Mardi soir, le milieu portugais a réalisé une nouvelle performance majuscule face au Bayer Leverkusen (7-2) en apparaissant comme le chef d’orchestre de l’équipe dirigée par Luis Enrique, dithyrambique à son égard. « Que voulez-vous que je vous dise sur Vitinha ? Ce n’est pas le moment de parler d’un seul joueur. Mais il est incroyable, il contrôle le match et le ballon aux moments les plus importants, il contrôle tout ce que nous devons faire, c’est un joueur incroyable », s’est enflammé l’entraîneur du PSG.

« C’est le patron, c’est le métronome »

Consultant de BeIN Sports pour la Bundesliga, Patrick Guillou, interrogé par Le Parisien, s’est lui aussi montré impressionné par la prestation de Vitinha. « Il a été époustouflant de simplicité, d’intelligence de jeu, explique l’ancien défenseur. Sur le but de Nuno Mendes, il casse deux lignes et il élimine six joueurs à lui tout seul, c’est un truc de fou. Il ralentit, il accélère, il prend l’initiative d’y aller, il fait la passe et au final, il y a but. C’est le patron, c’est le métronome. »

« Un élément incontournable dans les circuits préférentiels quand ils repartent de derrière »

Et de poursuivre : « C’est un élément incontournable dans les circuits préférentiels quand ils repartent de derrière. Ce sont des circuits tellement travaillés à l’entraînement qu’on a l’impression qu’on attend le meneur de jeu, comme en NBA. C’est lui qui décide la phase qui va être déployée, qui dicte le tempo. »

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