Guillaume de Saint Sauveur -
Journaliste
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.
Le PSG avait déboursé aux alentours de 100M€ au total durant le mercato estival pour faire venir Lucas Chevalier et Ilya Zabarnyi, deux éléments qui peinent encore à donner satisfaction depuis le début de la saison. Mais le journaliste du Parisien Laurent Perrin annonce du lourd pour les deux recrues du PSG.
Le PSG a décidé de limiter les recrues lors du dernier mercato estival afin de ne pas bouleverser un effectif qui venait de remporter la Ligue des Champions, mais le club de la capitale a néanmoins déboursé aux alentours de 100M€ pour recruter Lucas Chevalier (40M€) ainsi qu'Ilya Zabarnyi (60M€) pour se renforcer. Le gardien français et le défenseur ukrainien peinent encore à convaincre les observateurs avec des performances en demi-teinte avec le PSG, mais Laurent Perrin se montre très optimiste pour l'avenir.
« Luis Enrique est très satisfait de Chevalier »
Dans un chat organisé avec les internautes du Parisien, le journaliste fait d'abord le point sur la situation de Lucas Chevalier au PSG : « Luis Enrique est très satisfait de Chevalier et de son apport dans son système de relance, c'est plus fluide et plus rapide que Donnarumma, c'est une arme en plus et c'est ce que le staff recherchait. Après, tout n'est pas parfait. Il est bizarrement resté statique sur le but de Moreira contre Strasbourg. Mais comme l'a rappelé Luis Enrique, on avait beaucoup critiqué Donnarumma avant de l'encenser. Quand je dis « on », je parle des supporters et des médias. À Paris, critiquer le gardien est une spécialité locale », a-t-il expliqué.
« Pas de doute sur le potentiel de Zabarnyi »
Et Laurent Perrin enchaine sur l'autre recrue du PSG : « Concernant Zabarnyi, il n'y a pas de doute sur son potentiel, ni sur son état d'esprit. Il lui faut un peu de temps pour parfaire ses automatismes. Et n'oublions pas qu'il a tout juste 23 ans », précise le journaliste du Parisien.