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Signature au PSG : Le calvaire inattendu…

Thomas Bourseau

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Rédacteur

Féru de sport, Thomas a grandi entre le ballon rond du football et le orange du basket, ses deux coups de cœur depuis toujours. Diplômé d’un Master et d’une Licence à l’Institut Européen du Journalisme de Paris, il suit toujours de très près les aventures d’Arsenal et des Los Angeles Lakers.

Remplacer Gianluigi Donnarumma. Voilà le challenge que Lucas Chevalier a accepté de relever cet été, le tout en quittant son cocon à Lille. Recrue phare du PSG au poste de gardien de but, le portier de l’équipe de France a reconnu avoir traversé des moments difficiles et pas uniquement sur le plan sportif. Explications avec le principal intéressé.

Le grand déplacement. Natif de Calais il y a 23 ans de cela, Lucas Chevalier a tout connu dans le Nord. De ses premiers pas à Coquelles en passant par un prêt à Valenciennes avec bien évidemment sa formation au LOSC où il a effectué bâti le début de sa carrière professionnelle. Mais à la dernière intersaison, après des premières convocations en équipe de France, tout a changé pour Lucas Chevalier.

«Il y avait un peu d'inconfort»

De promesse à successeur de Mike Maignan au LOSC, Lucas Chevalier s’est installé dans la capitale avec une mission assez ardue sur le papier : remplacer un Gianluigi Donnarumma poussé vers la sortie quelques semaines après le sacre du PSG en Ligue des champions. Les performances de Chevalier sont mitigées depuis le coup d’envoi de la saison. Ce qui lui a valu pas mal de critiques des observateurs et notamment pour sa bourde lors du Classique perdu face à l’OM (0-1). Comment se sent le principal intéressé ?

« Je me sens de mieux en mieux. Mon arrivée s'est vraiment accélérée dans les derniers jours, et on a tout suite préparé la Supercoupe d'Europe contre Tottenham. Donc, les premiers mois, en tout cas le premier mois et demi, il y avait un peu d'inconfort. Je logeais encore à l'hôtel. Et puis je suis quelqu'un d'assez routinier, assez carré, et là, c'était un peu le freestyle ».

«Ce n'était pas facile sur un plan général»

Une adaptation à sa nouvelle vie assez compliquée puisqu’il a quitté son cocon pour un quotidien à l’hôtel, bien que cette situation ne fut que temporaire comme avoué par Lucas Chevalier au Figaro. Il reconnaît avoir éprouvé quelques difficultés sur le plan sportif en plus de la question du logement. « Au tout début, ce n'était pas facile sur un plan général. Mais là, je commence à prendre mes habitudes que ce soit au club, comment je m'entraîne ou en dehors ».

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