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Ousmane Dembélé - PSG : Le clash surprise

Bernard Colas -

Journaliste

Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

En difficulté depuis son retour de blessure il y a deux semaines, Ousmane Dembélé a été victime d’un nouveau pépin face au Bayern Munich ce mardi soir, l’obligeant à quitter la pelouse du Parc des Princes. Vincent Duluc, journaliste à L’Équipe, n’a pas manqué de critiquer Luis Enrique, évoquant la récente polémique concernant le Ballon d’Or 2025 avec la FFF.

Titularisé par Luis Enrique pour affronter le Bayern Munich ce mardi soir, Ousmane Dembélé a été contraint de céder sa place après une vingtaine de minutes, à cause d'un problème au mollet. L’international français, absent un mois et demi en début de saison en raison d'une lésion sévère de l'ischio droit, n’aurait pas rechuté selon Luis Enrique, critiqué par Vincent Duluc dans L'Equipe pour l’avoir titularisé.

« Il est possible que les choix de Luis Enrique aient nourri cette fragilité »

De retour sur les terrains il y a deux semaines, Ousmane Dembélé n’avait été titularisé qu’une fois avant le choc de mardi soir et s’était ensuite plaint de douleurs à l’ischio droit après le match contre Nice. « On ne fera croire à personne que l'on tombe de l'armoire, parce que les signaux récents allaient plutôt dans ce sens : le PSG n'est pas prêt, les blessures et retours de blessure se conjuguent pour limiter son intensité, et il est même possible que les choix de Luis Enrique, mardi soir, aient nourri cette fragilité », souligne le journaliste dans son édito du jour.

« C'est bien la peine de donner des leçons au staff de l'équipe de France »

« C'est bien la peine de donner des leçons au staff de l'équipe de France pour gérer Ousmane Dembélé de la même manière, et être contraint de le sortir de la même manière, après moins d'une demi-heure, surenchérit Vincent Duluc . Et si c'est le Ballon d'Or qui, chaque fois, se déclare bon pour le service, il va sans doute falloir cesser de l'écouter, a fortiori dans une période où il lui faut digérer une révolution dans sa vie, qui ne peut pas se digérer de façon ordinaire et pour laquelle il n'existe pas de mode d'emploi. »

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