Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.
Lourdement touché à la cheville au début du mois de novembre, Achraf Hakimi réalise actuellement un gros travail de récupération afin de disputer la CAN avec le Maroc. Aperçu en salle de rééducation avec son kiné personnel, le latéral du PSG fait énormément d’efforts, ce qui impressionne le journaliste Bertrand Latour.
Une véritable course contre la montre. Victime d’une grosse entorse de la cheville le 4 novembre dernier face au Bayern Munich, Achraf Hakimi travaille énormément au niveau de sa rééducation afin d’être revenu pour le match d’ouverture de la CAN avec le Maroc face aux Comores (21 décembre). Ce dimanche, la star du PSGa donné de bonnes nouvelles sur l’état de sa cheville.
Hakimi va beaucoup mieux
« Ça va beaucoup mieux, l’inflammation a descendu, ça va beaucoup mieux maintenant, ça ne fait pas mal. Je suis positif, je suis concentré, je continue de travailler fort avec cet objectif d’arriver bien à la CAN », confiait ainsi le joueur du PSG auprès de Canal +. Sur le plateau du Canal Football Club, le journaliste Bertrand Latour a semblé impressionné du travail réalisé en solitaire par Hakimi.
« C’est monstrueux et c’est beaucoup d’investissement »
« Il ne pense qu’à ça, le match contre les Comores (21 décembre), c’est vraiment son objectif. Après, il y a quand même toujours ce tiraillement entre la volonté qui est la sienne, l’énergie qu’il met… (il coupe). Pour nous, les rééducations de joueurs de foot, c’est des communiqués où on dit qu’il revient à tel date et il peut revenir plus tôt, mais ce que ça implique derrière, c’est monstrueux et c’est beaucoup d’investissement. Après, il y a aussi les gens autour de lui, médecins et kinés, qui vous disent qu’il y a ce qu’on aimerait faire et ce qui sera possible. Il est dans les clous mais la partie n’est pas gagnée encore », a confié Latour ce dimanche.