Guillaume de Saint Sauveur -
Journaliste
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.
Même s'il n'a pas été très actif lors du dernier mercato estival avec seulement trois nouvelles recrues, le PSG a néanmoins lâché plus de 100M€ pour faire venir Lucas Chevalier et Illia Zabarnyi. Les deux connaissent une intégration plutôt compliquée au sein du club de la capitale, mais Marquinhos se veut rassurant pour l'avenir des deux recrues du PSG.
Invité de l'émission Rothen s'enflamme sur RMC Sport jeudi soir, Marquinhos a évoqué les recrues du dernier mercato estival au PSG, qui avait dépensé au total un peu plus de 100M€ pour faire venir Renato Marin (libre), Lucas Chevalier (40M€) et Illia Zabarnyi (63M€). Et le capitaine du club de la capitale se veut rassurant sur le niveau de jeu des deux derniers, qui sont largement pointés du doigt pour leur début de saison assez décevant depuis leur signature au PSG.
« Pas facile d'arriver dans cette équipe »
« Je pense que ce n'est pas aussi simple et facile d'arriver dans une équipe qui a déjà tout gagné. Mais eux, ils ont fait une très belle adaptation. Je pense que nous, en tant qu'équipe, on essaie de les mettre dans les meilleures conditions pour qu'ils puissent aussi faire un bon travail. Je pense que de plus en plus ils vont comprendre ce qu'est Paris, ce que représente d'être un joueur du Paris Saint-Germain, le poids que ça représente », indique Marquinhos sur les difficultés actuelles de Lucas Chevalier et Illia Zabarnyi au PSG.
Marquinhos rassure pour Chevalier et Zabarnyi
Et le capitaine du PSG se veut ensuite rassurant et serein pour l'avenir de ses deux nouveaux coéquipiers : « Puisqu'ils ont été recrutés par le Paris Saint-Germain, c'est qu'ils ont sûrement des énormes capacités et qualités, et on leur fait confiance. Même moi, depuis toutes ces années ici, j'ai eu des difficultés dans certains matchs, à certains moments. C'est normal que les joueurs aient des moments difficiles mais ils ont la capacité pour rebondir », poursuit Marquinhos.