Face à l’AS Monaco, Lucas Chevalier a eu très chaud. Le gardien de but du PSG a été victime d’un tacle appuyé sur la cheville de la part de Lamine Camara, qui rappelle l’agression subie par Gianluigi Donnarumma au même endroit l’année dernière, qui avait lui pris les crampons de Wilfried Singo en plein visage. Dans les deux situations, les joueurs monégasques n’ont pas reçu de carton rouge et cela a rendu furieux Luis Enrique.
Ce samedi, contre **Monaco** (victoire 1-0 de l’**ASM**), le [PSG](https://le10sport.com/football/ligue1/psg/scandale-au-psg-lenorme-coup-de-gueule-766662) aurait très bien pu perdre **Lucas Chevalier** pour plusieurs semaines, voire mois. Alors que l’on jouait la douzième minute, le portier a fini au sol après un tacle appuyé de **Lamine Camara** sur sa cheville droite. Alors que le rouge paraissait obligatoire sur cette action, l’arbitre de la rencontre **Clément Turpin** a finalement décidé de ne donner qu’un jaune au milieu de terrain monégasque et il n’a pas été appelé par le VAR.
Une décision surprenante, mais que n’a pas cherché à commenter **Luis Enrique** après le match. L’entraîneur du **PSG** s’est montré très sobre. _« Je voudrais parler beaucoup, beaucoup, beaucoup… Mais je préfère dire que Chevalier a eu beaucoup de chance, je pense que c’est suffisant. »_
**Luis Enrique** s’est donc montré calme face à la presse, mais en privé le coach du **PSG** était beaucoup plus énervé selon _Le Parisien_. Cette décision a eu du mal à passer, d’autant que l’année dernière, **Gianluigi Donnarumma** avait lui aussi été victime d’une grosse agression à **Monaco**. Le portier italien avait pris les crampons de **Wilfried Singo** en plein visage et avait eu une belle cicatrice, alors que le défenseur s’en était lui sorti sans aucun avertissement.