Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités
Après la défaite du PSG sur la pelouse de l'AS Monaco (0-1), l'OM avait l'opportunité de prendre la tête de la Ligue 1. Mais pour cela, il fallait dominer Toulouse ce qui a failli être fait. Mais une nouvelle fois, les Marseillais ont encaissé un but dans les arrêts de jeu. Pour Matthieu Dossevi, ce n'est pas une situation anodine.
Samedi soir en recevant Toulouse, l'OM avait l'occasion de prendre la tête de la Ligue 1. Pour cela, il fallait gagner le match. Mais comme ce fut le cas cette saison à plusieurs reprises, les Marseillais ont finalement concédé un but dans les arrêts de jeu et ont concédé le nul (2-2) ce qui les empêche de profiter du faux pas du PSG à Monaco. Selon Matthieu Dossevi, il s'agit notamment d'un problème psychologique.
L'OM rate la tête de la L1 à la dernière minute
« Là c’est criant, ça se ressent, on sent que psychologiquement, sur l’enjeu, parce qu’ils ont tout pour maîtriser, continuer de maîtriser ce match. Tu sens qu’il y a l’enjeu de la première place qui commence petit à petit à se faire ressentir. Et tu vois qu’il y a une sorte de nervosité qui s’installe […] mais elle est palpable », constate-t-il sur le plateau de L'EQUIPE du Soir avant de poursuivre.
«Il y a une sorte de nervosité qui s’installe»
« Et tu vois que cette touche, on ne sait pas pourquoi Egan Riley dégage en touche alors qu’il n’y a pas de danger. C’est vraiment une succession de choses qui sont totalement incohérentes. Ce n’est pas rédhibitoire, parce qu’ils sont là où ils doivent être. Ils ne sont pas largués au classement, bien au contraire. Ils ne sont pas largués, ils sont à la lutte. Le but, c’était que Marseille soit à la lutte, soit au contact du PSG et ils le sont », ajoute Matthieu Dossevi.