Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.
Ancien joueur du Napoli, Blerim Dzemaili est revenu sur le départ de Kvicha Kvaratskhelia du Napoli cet hiver. Selon lui, l'ailier géorgien de 23 ans était en fin de cycle au sein de la formation italienne et a pris la bonne décision en rejoignant le PSG pour un montant compris entre 70 et 80M€.
En janvier dernier, Kvicha Kvaratskhelia faisait ses adieux au Napoli et à ses supporters. « J’ai vécu une période incroyable ici, nous avons partagé beaucoup de souvenirs ensemble, expérimenté beaucoup d’incroyables émotions. Naples était ma maison, où je me suis senti incroyable grâce à chacun d’entre vous » avait-il lâché avant de s’engager avec le PSG. Pour Blerim Dzemaili, ce message était sincère. Arrivé en 2022 à Naples, Kvara s’est tout de suite senti chez lui. Mais sa côte de popularité n’avait cessé de dégringoler ces derniers mois.
PSG : «Ce n’est pas la Ligue 1», le clash surréaliste face aux caméras !
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— le10sport (@le10sport) March 7, 2025
Kvaratskhelia était arrivé en fin de cycle
« Khvicha Kvaratskhelia a-t-il eu du mal à quitter la Campanie ? Oui, parce qu'il était l'idole des supporters. Pour moi, le cycle de Kvaratskhelia à Naples était terminé, le joueur géorgien ne se sentait même pas aimé. Mais ce qu'il a fait pour Naples est extraordinaire, il suffit de penser à ce qu'il a fait pour gagner le Scudetto » a confié l’ancien joueur du Napoli dans des propos rapportés par Area Napoli.
L'incroyable comparaison avec Lavezzi
Pour Dzemaili, Kvaratskhelia n’a jamais atteint la popularité d’un Ezequiel Lavezzi, passé aussi par le PSG. « J'étais aussi très populaire auprès des supporters napolitains, mais pas au moins de ne plus sortir, au contraire. J'ai pu me déplacer à Naples. Je révèle une anecdote. Quand Ezequiel Lavezzi sortait, les routes étaient bloquées. S'il allait sur le front de mer, c’était bloqué, les gens laissaient leur voiture au milieu de la rue pour aller voir l'Argentin » a-t-il déclaré au cours d'un entretien accordé à la radio italienne RSI.