Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).
Dans une soirée mémorable au stade d'Anfield, le PSG a éliminé Liverpool aux tirs au but, se qualifiant ainsi pour les quarts de finale de la Ligue des champions. Pascal Praud a salué la performance collective des Parisiens, soulignant que la perte de Kylian Mbappé a renforcé l'esprit d'équipe sous la direction de Luis Enrique.
C’est une soirée que les Parisiens ne sont pas près d’oublier. Vainqueur aux tirs au but sur la pelouse d’Anfield (1-0, 4-1 t.a.b.), le PSG est parvenu à renverser Liverpool et s’est offert une qualification pour les quarts de finale. Une performance majeure des hommes de Luis Enrique qui a séduit Pascal Praud, consacrant son édito de mercredi à l’exploit parisien.
Un «faiseur d'or» va signer au PSG, mircale sur le mercato ?
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— Le 10 Sport Mercato (@le10sport_m) March 11, 2025
« Une séance pour l’histoire »
« Nous devons des excuses à Donnarumma. Voici les premiers mots que j’ai entendus hier soir peu avant minuit d’un supporter du PSG, que j’appelais, qui fait partie de notre rédaction à CNews. Et de fait, le gardien du PSG est le héros de ce huitième de finale retour de Ligue des champions, il a stoppé deux tirs au but dans une séance pour l’histoire qui permet aux Parisiens d’éliminer les Anglais de Liverpool dans cette cathédrale du football qu’est Anfield », a commencé le journaliste de CNews, qui estime que le club ne s’est pas affaibli avec le départ de Kylian Mbappé, au contraire.
« Le PSG a perdu Mbappé mais a gagné un état d’esprit »
« Le PSG est une jeune équipe de 24 ans, elle a perdu cette saison Kylian Mbappé, parti pour le Real Madrid, mais elle a gagné un état d’esprit, un sens collectif, un supplément d’âme en un mot, a-t-il poursuivi. Son entraîneur Luis Enrique sait que onze footballeurs, fussent-ils les meilleurs du monde ne font pas forcément une équipe. Le foot n’est pas une addition de talents, il est une alchimie qui puise sa recette dans une devise de mousquetaires : un pour tous, tous pour un. »