En 2019, le départ d’Adrien Rabiot a été plutôt houleux au PSG. Le club de la capitale n’avait pas digéré que l’international français refuse de prolonger, les supporters parisiens non plus. Le milieu de terrain a ensuite été victime de l’armée numérique. La mère du joueur qui évolue aujourd’hui à l’OM en a profité pour désigner un traître dans la direction de l’époque chez les Rouge-et-Bleu.
Aujourd’hui joueur de l’**OM**, **Adrien Rabiot** a eu droit à un accueil particulièrement houleux au Parc des Princes le 16 mars dernier. Il faut dire que la trahison - l’international français étant formé au **PSG** - ne passe pas chez les supporters parisiens. Il y a quelques années, son départ avait déjà été plutôt compliqué à digérer.
En 2019, [Adrien Rabiot](https://le10sport.com/football/ligue1/psg/rabiot-psg-la-reponse-a-lorigine-du-divorce-737382) refusait de prolonger. Résultat, le **PSG** l’a mis au placard jusqu’à son départ à l’issue de la saison. Le milieu de terrain de 29 ans a également été victime de l’armée numérique. Ce dispositif était monté pour s’en prendre à des joueurs, comme ça a été le cas aussi pour **Kylian Mbappé**, et à des personnalités extérieures sur les réseaux sociaux, que le **PSG** nie avoir lancé. Mais pour **Véronique Rabiot**, il y avait un traître dans l’organigramme parisien.
« _L’armée numérique ? Ça a été efficace, il a été plus que mal aimé, il a été détesté. Je parlais très souvent à Jean-Martial (Ribes, ex-directeur de la communication du PSG), je l’ai rencontré très souvent. S’il y a un traître dans l’histoire, c’est lui, ce n’est pas moi. Je lui demandais d’être avec nous dans les discussions, il était très sympa_ » a lâché la mère d’**Adrien Rabiot** dans un entretien pour _Complément d’enquête_, que _Le Parisien_ a eu la chance de visionner avant la diffusion de l’émission de _France 2_ ce jeudi soir.