Thomas Bourseau
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Rédacteur
Féru de sport, Thomas a grandi entre le ballon rond du football et le orange du basket, ses deux coups de cœur depuis toujours. Diplômé d’un Master et d’une Licence à l’Institut Européen du Journalisme de Paris, il suit toujours de très près les aventures d’Arsenal et des Los Angeles Lakers.
Ce n'est pas Nasser Al-Khelaïfi qui a propulsé Vincent Labrune à la présidence de la Ligue de football professionnel en 2020. Le patron du PSG souhaitait Michel Denisot à sa place, mais tout le monde n'était pas sur la même longueur d'onde. Une altercation a alors éclaté entre Al-Khelaïfi et Bernard Caïazzo qui co-présidait l'ASSE.
En 2020, Nathalie Boy de la Tour laissait vacante la position de président de la Ligue de football professionnel. Le moment que Nasser Al-Khelaïfi choisissait pour militer en coulisses afin que Michel Denisot prenne la succession de Boy de la Tour à la tête de la LFP. Finalement, c'est Vincent Labrune qui a été élu par les présidents de Ligue 1.
«Je me suis disputé une fois avec lui, le jour de l’élection de Vincent Labrune»
Et ce, bien que le patron du PSG ait incité Bernard Caïazzo, ancien co-président de l'ASSE, d'apporter son soutien en faveur de Michel Denisot. En interview pour Foot Mercato, Caïazzo dévoile un clash avec Nasser Al-Khelaïfi à ce sujet. « Nasser, c’est moi qui le reçois pour la première fois à Paris. J’étais président du collège de Ligue 1. Je me suis disputé une fois avec lui, le jour de l’élection de Vincent Labrune ».
«J’avais voté Labrune et Nasser ne voulait pas, il m’avait demandé de voter Denisot»
« Car moi j’avais voté Labrune et Nasser ne voulait pas, il m’avait demandé de voter Denisot. On a eu un accrochage sévère. Mais ça arrive partout. J’en ai vu des accrochages moi ». a conclu Bernard Caïazzo pendant son échange avec FM.