Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités
L'été dernier, l'OM a obtenu la signature d'Adrien Rabiot qui était libre de tout contrat alors qu'il n'avait pas réussi à trouver de clubs durant le mercato. Et l'ancien joueur du PSG a réalisé une saison plutôt aboutie au point que Ludovic Obraniak souligne que «c’est un mariage magnifique».
Libre de tout contrat après la fin de son bail avec la **Juventus**, [Adrien Rabiot](https://le10sport.com/football/ligue1/om/transferts-rabiot-va-ramener-du-lourd-a-lom-743075) n'avait pas trouvé de clubs durant le mercato estival. Résultat, au mois de septembre, l'ancien joueur du **PSG** était encore sans club. Une aubaine pour l'**OM** qui a sauté sur l'occasion pour le recruter. Un choix audacieux compte tenu du lien entre **Rabiot** et le **PSG**, mais cela a finalement porté ses fruits comme le souligne **Ludovic Obraniak** qui évoque un «_mariage magnifique_»
« _Rabiot, il ne faut rien lui imposer. C’est freestyle, il fait comme il veut. S’il veut décrocher, qu’il décroche ! S’il veut se projeter, qu’il se projette ! C’est LE facteur X de la saison olympienne. Son expérience et son leadership lui ont octroyé ce droit. Il est l’homme qui prend le premier relais, qui va à la finition. C’est aux autres de s’adapter à lui et pas l’inverse. Le contexte n’était pas évident_ », lâche-t-il dans les colonnes de _La Provence_, avant d'en rajouter une couche.
« _Le Parisien qui débarque à Marseille… Je le sentais un peu introverti. Je me demandais quel impact aurait cette ville volcanique sur lui. En fait, ça a été un déclic, ça l’a métamorphosé. C’était déjà un excellent joueur, mais il a trouvé à l’OM le côté humain, affectif, la reconnaissance aussi, qu’il n’avait pas ailleurs. Ici, c’est quelqu’un. Il a besoin de cela, de s’en nourrir. Il le rend bien aussi. C’est un mariage magnifique_ », ajoute **Ludovic Obraniak**.