Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.
Le 31 mai prochain, de nombreux joueurs du PSG vont disputer la première Ligue des Champions de leur carrière. Forcément, cela peut engendrer une grosse pression au sein du vestiaire parisien, comme l’a volontiers reconnu João Neves ce mercredi. Néanmoins, le petit génie portugais veut y croire pour ce choc.
L’heure de vérité approche pour le PSG. Pour la deuxième fois de son histoire après 2020, le club de la capitale va disputer une finale de Ligue des Champions. Cette fois-ci, ce sera l’Inter Milan qui va se dresser sur la route des Parisiens. En cinq ans, l’effectif du PSG a drastiquement changé, et seuls Presnel Kimpembe et Marquinhos ont connu la désillusion de Lisbonne. Forcément, au sein de cet effectif très rajeuni, le stress est présent avant le choc.
« Comme pour chaque match, je suis un peu nerveux »
Présent en zone mixte ce mercredi, João Neves, arrivé l’été dernier au PSG, a évoqué cette grande finale à désormais dix jours de l’événement. « Non, comme pour chaque match, je suis un peu nerveux. Mais dans ce cas, dans ce genre de match, je suis un peu plus. Donc j’essaie de me détendre, de rester calme, de profiter des moments, car nous ne savons pas, peut-être que c’est la dernière finale que je vais jouer. Donc je donnerai le meilleur de moi-même », a ainsi confié le numéro 87.
« Qu’est-ce qui changera si nous ne gagnons pas celle-ci ? »
« En fait, nous ne ressentons pas de pression parce que le PSG n’a jamais gagné la Ligue des Champions, poursuit le crack né en 2004. Donc, qu’est-ce qui changera si nous ne gagnons pas celle-ci ? Donc nous sommes sans pression. Nous sommes confiants, heureux d’être dans ce genre de moment. Ce n’est pas tous les clubs qui peuvent jouer cinq finales en une année. Donc nous sommes très confiants et heureux et nous ferons de notre mieux comme nous l’avons fait à chaque match. »