Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.
Arrivé l’été dernier en provenance du Benfica Lisbonne dans le cadre d’un transfert estimé à 70M€ bonus compris, Joao Neves s’est très rapidement imposé comme un élément majeur du PSG. Un joueur que Vitinha avait déjà eu l’occasion de côtoyer en sélection portugaise, mais il reste impressionné par le talent de son jeune coéquipier.
Dans sa volonté de continuer à recruter des jeunes joueurs à fort potentiel, le PSG a notamment jeté son dévolu sur Joao Neves l’été dernier. Arrivé en provenance du Benfica Lisbonne dans le cadre d’un transfert estimé à 70M€ bonus compris, l’international portugais (14 sélections) a retrouvé à Paris son compatriote Vitinha, qui du haut de ses 25 ans se sent « vieux » dans un vestiaire composé de nombreux jeunes.
« Depuis que je joue au football, c’est rare qu’un joueur m’ait autant impressionné »
« J’ai 25 ans et je me sens vieux dans cette équipe. À cet âge-là, tu as un peu d’expérience. C’est bizarre. Mais j’aime bien avoir ce rôle dans ce groupe, de faire partie d’un milieu de terrain jeune. C’est un privilège d’être avec eux car on se pousse », a confié Vitinha dans un entretien accordé à beIN Sport, diffusé en marge de la finale de la Coupe de France contre le Stade de Reims.
« Il joue comme un vieux avec beaucoup d’expérience »
Le milieu de terrain du PSG s’est ensuite exprimé sur son coéquipier et compatriote Joao Neves, un des joueurs qui l’a le plus impressionné dans sa carrière : « C’est incroyable. La première fois que je l’ai vu, c’était en sélection nationale. J’étais impressionné. Il a encore une grande marge de progression. Depuis que je joue au football, c’est rare qu’un joueur m’ait autant impressionné. Il joue comme un vieux avec beaucoup d’expérience. Il est à l’aise sur le terrain. C’est un privilège de l’avoir avec nous, il faut qu’il reste ici longtemps. Il est essentiel. »