Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.
Dans la presse italienne, un nom revient à l'approche de la finale de Ligue des champions entre le PSG et l'Inter, celui de Gianluigi Donnarumma. Considéré comme le meilleur portier du monde par de nombreux observateurs, le portier transalpin est annoncé comme le principal danger pour la formation de Simone Inzaghi.
Ils ne sont plus que deux à pouvoir accéder à la gloire. L’Inter, qui a l’occasion de remporter sa quatrième Ligue des champions, et le PSG, qui tentera de devenir le deuxième club français à soulever la coupe aux grandes oreilles après l'OM en 1993. Une rencontre indécise et ouverte qui fait évidemment les gros titre en Italie. Ce dimanche, la Gazzetta dello Sport consacre une large partie de son édition à cette finale prévue samedi prochain.
Donnarumma, menace numéro une
Le quotidien italien est notamment allé à la rencontre d’Aristide Guarnieri, champion d’Europe en 1968 et passé par l’Inter. Pour l’ancien joueur milanais va devoir se méfier de Gianluigi Donnarumma, intraitable depuis le début de la phase éliminatoire. « Combien vais-je souffrir pour l'Inter ? Espérons que pas trop. Le PSG est fort, très fort, ils ont le meilleur gardien du monde, Donnarumma est le nouveau Yachine » a-t-il lâché.
« C'est du 50/50 »
Mais selon lui, la formation de Simone Inzaghi dispose des outils pour déranger le PSG de Luis Enrique. « Mais l'Inter est aussi une grande équipe. Ils y sont arrivés, ils sont les meilleurs. Si les joueurs vont bien, s'ils ne souffrent pas comme lors des derniers matchs de championnat, nous jouerons à armes égales. Favoris ? Les outsiders ? Cinquante/cinquante. C'est une finale. Il faut les avoir fait pour comprendre ce que sont les finales » a confié Guarnieri ce dimanche. Reste à savoir si l'Inter aura digéré la perte de son titre d'Italie au terme d'une lutte acharnée avec le Napoli d**'Antonio Conte.**