Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.
Le PSG a survolé cette saison. Que ce soit en Ligue1 ou lors de cette édition de Coupe de France, le club parisien n'a pas eu vraiment de rival. Et pour Kévin Diaz, ce manque de concurrence est un énorme problème pour la formation de Luis Enrique, qui va devoir monter en intensité lors de la finale de Ligue des champions face à l'Inter samedi prochain.
On le savait déjà, mais le PSG n’a pas de concurrence sur la scène nationale. Champion de France avec une avance considérable sur son dauphin, l’OM, le club de la capitale a garni un peu plus son armoire à trophées en rempotant la Coupe de France ce samedi soir. Un avant-goût de samedi prochain ? L’adversité sera tout autre à Munich, lieu de la finale de la Ligue des champions face à l’Inter.
Le PSG impressionne en France
Ce qui impressionne Florent Gautreau, c’est la capacité de Luis Enrique à mobiliser son groupe, malgré la perspective d’un choc européen. « Avec Luis Enrique, tu as l’attitude, la rigueur que tu vois dans les matches importants. Contre n’importe quelle équipe, le PSG aurait été plus fort ce soir » a déclaré le journaliste durant l’After Foot.
Un gros problème est annoncé
Mais de son côté, Kévin Diaz estime que son manque d’adversité en France est un énorme problème pour le PSG, qui a besoin de rythme. Aussi, pour le prestige de la Coupe de France, l’ancien joueur aurait préféré retrouver un cador comme l’OM de Roberto de Zerbi, éliminé par le LOSC en seizièmes de finale. « C’est un énorme problème que le PSG soit si au-dessus en Ligue 1. Si ça aurait été Marseille, pas sûr que le match aurait été plus disputé. Il ne peut pas y avoir un tel écart. C’est la faute des dirigeants de la FFF qui n’ont pas assez bien réparti les droits TV, la faute des dirigeants de club qui ne travaillent pas assez bien. A l’OM, ils n’ont pas réussi à faire cette campagne qui aurait permis d’avoir un Classique en finale » a-t-il lâché.