Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités
De nombreux sportifs français seront derrière le PSG ce samedi soir à l'occasion de la finale de la Ligue des champions. C'est notamment le cas de Cameron Woki. Le deuxième-ligne du Racing 92 et du XV de France reconnaît même être en plein stress en attendant le choc face à l'Inter Milan.
C'est le grand jour pour le PSG qui disputera la deuxième finale de Ligue des champions de son histoire ce samedi contre l'Inter Milan. Une rencontre qui sera évidemment suivie un peu partout en France et plusieurs sportifs seront d'ailleurs derrière les Parisiens, à l'image des pilotes de Formule 1 Pierre Gasly, Esteban Ocon ou encore Isack Hadjar, tous supporters du PSG.
Cameron Woki en plein stress
Mais c'est également le cas au rugby. Deuxième-ligne du Racing 92 et du XV de France, Cameron Woki attend ainsi la finale de la Ligue des champions avec impatience. « Je suis en pleine semaine de stress. Pour mes matches, je ne stresse pas. Là oui (rire) ! J'ai l'impression que le 31 mai, c'est dans un an... Le temps ne passe vraiment pas vite ! », lance le natif de Saint-Denis dans les colonnes de L'EQUIPE. Grand nom du XV de France dans un passé récent, Mathieu Bastareaud sera également devant son écran pour supporter le PSG.
«Le temps ne passe vraiment pas vite !»
« Cette année, je n'ai pas regardé les matches de phase finale. Tout est parti du match face à City en phase de ligue (4-2, le 22 janvier). J'ai zappé et ils ont fait la remontada (le PSG était mené 2-0). Depuis, je ne regarde plus car j'ai l'impression qu'à chaque fois que je zappe sur le match, ils prennent un but. Je regarde simplement les dernières minutes. Du coup, c'est la grande question pour la finale... Mais je suis obligé de la regarder ! J'hésite vraiment, mais quoi qu'il arrive, je la regarderai d'un œil », confiait-il lui aussi auprès de L'EQUIPE.