Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.
Depuis plusieurs mois, le discours est rompu entre la mairie de Paris et le PSG concernant le rachat du Parc des Princes. Si Anne Hidalgo en a remis une couche après la victoire des Parisiens en Ligue des Champions, Daniel Riolo lui, estime que le club de la capitale aurait dû se réconcilier avec l’élue du Parti Socialiste.
Le PSG dans l’histoire. Dimanche, les Parisiens ont célébré leur victoire en Ligue des Champions du côté du Parc des Princes. Une fête majestueuse venant relancer le débat du rachat du stade par QSI ? Possible. Quoi qu’il en soit, de son côté, la mairie de Paris se montre toujours aussi inflexible à ce sujet.
« Vendre non, mais agrandir, oui »
« Notre porte est toujours ouverte pour un agrandissement du Parc des Princes dont la Ville de Paris est propriétaire. Vendre non, mais agrandir, oui. Le match samedi soir a montré une fois de plus l’attachement de toute une ville pour le Parc et la magie qui y opère lors des grands matchs, même avec une diffusion sur grand écran », a ainsi déclaré la maire de Paris Anne Hidalgo ce lundi, appuyée par son adjoint Pierre Rabadan : « Que la ville reste propriétaire n’empêche pas le club de faire des travaux. Des montages juridiques sont possibles, notamment un bail de longue durée permettant au PSG d’y investir et d’en profiter pendant plusieurs décennies. »
« La façon dont ça s’est passé avec Anne Hidalgo, ce n’est pas normal »
Daniel Riolo lui, regrette l’évolution négative des relations entre la direction du PSG et Anne Hidalgo, qui n’a même pas été conviée à l’Élysée pour la cérémonie de victoire. « La façon dont ça s’est passé avec Anne Hidalgo, ce n’est pas normal. Je ne suis pas son plus grand fan, mais placardiser la Maire de Paris...Je pense que dans les grandes victoires, il y a de grandes réconciliations. Je n’aime pas les revanches, les exclusions dans les victoires. Il est d’une culture autoritaire », a ainsi confié l’éditorialiste au micro de l’After Foot ce lundi soir.