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PSG : «Fini», grand changement pour Luis Enrique

Dan Marciano -

Rédacteur

Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Le possible départ de Gianluigi Donnarumma du PSG intrigue. Derrière les arguments contractuels avancés par le club pour justifier ce changement, certains y voient une tout autre raison : un choix purement footballistique dicté par les exigences de Luis Enrique. Et selon Thierry Barnerat, expert des gardiens à la FIFA, ce virage tactique était inévitable.

Le Paris Saint-Germain a marqué un tournant cet été en s’attaquant de front à un sujet sensible : le poste de gardien de but. Après des saisons ponctuées de débats autour des performances de Gianluigi Donnarumma, le club parisien semble avoir décidé de passer à autre chose. A un an de la fin de son contrat, le portier italien, décisif la saison dernière, pourrait être mis en concurrence avec Lucas Chevalier (LOSC), s'il décide de rester dans la capitale selon les informations exclusives du 10Sport.com.

Des raisons sportives évoquées ?

En privé, la direction du PSG évoque une situation contractuelle incertaine. Mais cette explication ne convainc pas tout le monde. Pour Thierry Barnerat, spécialiste des gardiens à la FIFA, ce changement de gardien de but est avant tout dicté par la vision de Luis Enrique. L'ancien coach du FC Barcelone, qui prône un football de possession, a dû trop souvent faire des compromis avec Donnarumma la saison dernière.

Un renouveau avec Chevalier

« Luis Enrique s’est beaucoup trop renié cette saison par rapport à l’idée qu’il se fait du gardien de but. Regardez les sorties de balle contre Aston Villa et l’Inter, Paris a évité de relancer court dans la ‘‘zone 1’’ pour enlever toute pression à Donnarumma. L’argent est un prétexte. Enrique est un créateur. Au même titre que Guardiola, il veut être autant reconnu par les titres que par sa ‘‘patte’’. Il a dû composer avec Donnarumma et prendre sur lui. Avec Chevalier, ça serait fini » a déclaré Barnerat lors d'un entretien accordé à So Foot.

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