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«Un sacré joueur» : Signature confirmée, c'est le feu dans le vestiaire de l'OM

Arthur Montagne -

Journaliste

Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

C'est désormais confirmé, l'OM a obtenu le prêt avec une option d'achat obligatoire de Timothy Weah qui débarque en provenance de la Juventus. Une signature bouclée 25 ans après celle de son père. En effet, en novembre 2000, Georges Weah s'engageait à l'OM. Et cela n'avait pas manqué de faire réagir dans le vestiaire.

En novembre 2000, alors que la saison de l'OM, seulement 14e de D1, est très mal engagée, un grand nom du football signe pourtant avec le club phocéen. Il s'agit de Georges Weah. Le Ballon d'Or 1995, passé par le PSG et l'AC Milan, est en fin de parcours, mais recherche toutefois un défi en Europe du haut de ses 34 ans. Il choisit l'OM et son arrivée ne passe pas inaperçue dans le vestiaire comme s'en rappelle l'ancien portier marseillais Stéphane Trévisan, très impressionné par l'attaquant libérien.

Georges Weah, le très gros coup de l'OM !

« C'était un mec super positif, joyeux et qui communiquait beaucoup d'envie. Tu sentais qu'il avait connu des choses vraiment au-dessus mais il s'est mis dans une forme de simplicité pour amener son expérience et essayer de tirer tout le monde vers le haut. En plus, il était vraiment abordable, humble », se souvient l'ancien gardien de l'OM dans les colonnes de L'EQUIPE avant de poursuivre.

«Je me souviens d'un sacré joueur quand même »

« Je me souviens d'un sacré joueur quand même. Il prenait de la place, mobilisait les adversaires, ce qui pouvait laisser de la place pour les autres et les rendre plus forts. Il avait moins la vitesse et la puissance, mais avait gardé sa qualité technique et son intelligence dans les déplacements. Et, dos au but, je le trouvais monstrueux. Il avait de la présence et, devant les cages, de la tête, je n'en parle même pas ! », ajoute Stéphane Trévisan.

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